Réhabilitation d’un bâtiment scolaire : Il se
Réhabilitation d’un bâtiment scolaire : Il se trouve à l’école publique évangélique où nous avons déjà réalisé des latrines. La rénovation consiste à refaire la couverture et la charpente car la toiture prend l’eau, à faire une dalle au sol qui est en terre battue, à sécuriser le bâtiment en mettant des portes et claustras, à réaliser des tableaux scolaires, à faire une avancée véranda. Les travaux seront entrepris par les Ets Raph and Co avec qui nous avons déjà travaillé.
Photos du bâtiment scolaire à rénover
Réhabilitation du mur d’enceinte de l’école publique centrale et pose de deux portails : L’opération consiste à sécuriser l’école afin d’éviter le passage des véhicules dans la cour. En effet c’est une pratique régulière car cela représente un raccourci que les motos taxi et voitures avec des conducteurs peu scrupuleux empruntent. Plusieurs enfants ont déjà été victimes de ces chauffards. Le mur sera refait sur une longueur de 134,21 mètres
Mur coté est en état ou seulement un portail sera installé : On peut remarquer les pierres placées au sol afin de freiner les véhicules.
Photos du mur d’enceinte à réhabiliter
Réalisation de tables bancs : Il est nécessaire d’équiper les deux écoles de bureaux pour les enfants car ils travaillent pour la plupart à même le sol qui est dans certains bâtiments en terre battue. Cette partie du projet consiste à équiper trois classes dans chacune des deux écoles avec lesquelles nous avons établi des relations. Des bureaux seront aussi réalisés pour les enseignants de ces classes. Le travail est confié à un menuisier local. Les ouvrages seront réalisés en Iroko ce qui garantie une longévité du matériel.
Construction d’une latrine publique : Le quartier de Zongo est le plus pauvre de Kpalimé et ne comporte pas de latrine publique et très peu d’équipements individuels. Si les latrines scolaires réalisées par notre structure permettent maintenant des conditions d’hygiène dans les écoles, celles-ci sont déplorables sur le lieu d’habitat. La population est réduite à utiliser les lieux de décharge pour déféquer. Un bloc de latrines sera donc construit avec douze cabines et un accès séparé hommes et femmes.